Arriver d'hohenheim (suite)

Edward ne bougea pas complètement dans les choux. Edward était mince mais lourd, son mère devait le ressentir en le portant, cela était du a ses auto mail. Arriver face a la maison de Pinako on pouvais y lire une pancarte.

« Fermé, nous somme absente, les frère Elric on les clefs »

Le ciel étoilé était magnifique ce soir la.

[Désolé ce n’est pas très long, mais je ne voulais pas faire jouer ton personnage a ta place.]

hohenheim posa le jeune homme contre le mur a coter de la porte, et lus le message. La clef était sur l’un de ses deux fils, il espérait maintenant qu’elle serait sur Edward, dans le cas contraire ils auraient du mal d’entrer dans la maison.

*Edward réveille toi vite.*

L’homme se posa a terre en face de son fils dans l’attente de son réveille prochain. Alors sur le coup le père du jeune garçon eu une idée, il se redressa sur ses deux jambes, regarda un peu partout, il tapa contre la terre et créa un clef passe partout. Le sourire aux lèvres il ouvrit la porte, pris son fils, entra et le mis sur le canapé le plus proche. Il se dirigea donc vers les cuisine pikano et chercha de quoi faire a manger pour lui et son fils.

*je rembourserais es propriétaires.*

Il se mit la recherche d’une poil qu’il posa sur le gaz, il sortit u beurre qu’il trouva dans le frigidaire, pis des œufs. Il fit de tout cela une belle grosse omelette. Puis il sortit une casserole et le rempli d’eau, il la mit elle aussi sur le gaz et il recouvra la casserole de son couvercle. Il coupa alors des légumes de toute sorte et les mis dans l’eau bouillante avec des boulettes de viande qu’il trouva derrière quelques laitages. Il lassa tout cela cuire et s’approcha du jeune edward. Sur celui-ci il vis une chaîne en argent dépasser de sa poche, celle-ci l’intrigua et hoheheim sortit se a quoi elle était rattacher. C’était la montre que tout alchemist d’état recevais à la réussite de son examen.

*Edward, je ne savait pas que tu était au service de l’état… on en parlera a ton réveille.*

il se posa alors sur le canapé d’en face et soupira, attendant que le repas sois prêt.

Le garçon endormit fini par bouger doucement. Revenant lentement a lui. Il ouvrit alors lentement ses yeux cerner en dessous, visiblement la fatigue accumuler ne faisait pas du bien. Il se redressa et regarda ou il était. Chez Winry, puis l’odeur de la nourriture lui arriva au nez, le rendant légèrement Béa. Puis Edward se reprit, et tourna la tête vers son père. Il renifla dédaigneusement.

« Je suppose que je doit te dire merci pour m’avoir amener ici, et ne pas m’avoir de nouveau abandonner. »

Dans le remerciement restait le reproche. Edward était près à lui pardonner, mais pour cela fallait-il que son père veuille se faire pardonner. Le blond retira sa veste longue puis mit son visage dans ses mains, puis celles dit dans ses cheveux remontant un peut les mèche blonde trop longue. Toujours habiller comme un professeur de l’autre monde, Edward était très élégant dans sa façon de s’habiller, mais quand il était fatiguer, pas dans sa façon de se tenir.

Hohenheim regarda son fils quand celui-ci se réveilla. Il n’était pas en forme, mais il pourrait manger un peu, cela lui redonnerait un peu d’énergie. Edward a peine relever, remercia son père pour l’avoir amener chez les rockbell, mais il lui fit aussi des reproches sur le fait de l’abandon. Ed ne devait pas avoir digérer le fait que père sois partit pour revenir plus tard comme si de rien n’était. Hohenheim ne répondit donc pas, mais adressa tout de même un sourire flatteur a edward. Il se releva et alla vers ses plats qui étaient sur le feu. Il baissa le gaz et mis la soupe du la table. Il mis ensuite l’omelette sur un grande assiette. Il mis la table pour manger avec son fils et dit :

« Viens manger quelque chose, tu reprendra tes force… travailler pour l’état dois être dur pour un garçon e ton age. »

Il s’approcha de son fils et lui tendit la main pour l’aider à se relever.

« J’espère qu’avec le temps tu me pardonnera. »

Edward repoussa la main et se leva, il l’avait observer faire.

« J’ai 18 ans, et j’ai été alchimiste d’état a 12 ans, puis une nouvelle fois depuis peut, onc ‘est vu dans l’autre monde, et tu m’y as abandonner une seconde fois, comment veux tu que je te pardonne. C’est peut être le faites que tu soi mon géniteur qui fait que je t’aime quand même, mais je te déteste aussi pour ce que tu a fait a maman. »

Il alla s’asseoir a table.

« Je suis professeur d’histoire avant tout. Et Archéologue, être alchimiste d’état me permet d’avoir des subventions pour mon travail. »

Il attendit que son père ce soi installer pour les servir et manger.

hohenheim fut repousser de la mains par le jeune edward. Il ne lui pardonnait pas de l’avoir abandonner dans l’autre monde… ce n’était pas vraiment voulu a ce moment la.

« Je ne t’ai pas vraiment abandonner derrière la porte… j’ai été piéger par des gens que je pensait pouvoir utiliser pour NOUS faire rentrer chez nous. »

Il s’assit a table et regarda Edward les servir le reps qu’il avait préparer. Quand ils furent tout deux servies et prêt à manger, il regarda son fils et la façon dont il était habillé. Cela lui refaisait penser a se qu’il avait fait dans l‘autre monde.

« Je devrais peu être me remettre en service… mon alchemie pourrais sûrement aider des personne. Qui sais ce mon n’a pas raser de toute ses guerre. Ou alors je pourrais former des jeune gens à devenir alchemist. »

hohenheim commença alors a manger, il avait bonne appétit après le trajet qu’il avait fait. Et espérais que son fils mangerait beaucoup. Rien n’était trop cuit, ni pas assez. Hohenheim avait appris a cuisiner durant ses 400 ans d’existante.

Edward ne mangeait pas de suite.

« Nous faire rentrez… si tu n’était pas parti après la naissance de Al, tout cela ne serais jamais arrivé. »

Le jeune homme semblait défaitiste, et il commença à lentement manger, en silence. Puis il renifla, ses yeux le piquait, et il ne comprenait pas pourquoi. Il les essuya de ses vraies mains, avant de commencer a pleuré, cela faisait longtemps qu’il n’avait pas mangé d’aussi bonne chose. Mais pourquoi pleurer, il savait pleurer pour els mort, et pour ce qui était triste, mais la ? Pourquoi pleurait-il ? Il ne savait pas, son cœur lui faisait mal, et il ne pouvait plus manger sa gorge étant noué, il repoussa l’assiette et croisa ses bras sur la table, pour pleurer tout son soul. Il était si fatigué. Il avait même songer au suicide pour se reposer, mais il savait que Alphonse, Winry et tout els autre serait triste, lui qui n’était revenue que depuis 3 mois. De plus son cœur était brisé et apeurer, il avait perdu en laissant dans l’autre monde, celle qu’il aimait, et maintenant il subissait les avance de son colonel, certes mignon, mais quand même, tout se bousculait, il ne savait plus quoi faire.

Alors tout ressortait, l’élément déclencheur la venue de son père avait fait déborder le vase, et ses nef fragilisé, avait craquer. Alors il pleurait, de tristesse, de fatigue, de joie, tout était mélanger. Mais il avait besoin d‘être enlacer et consoler.

Hohenheim soupira aux paroles du jeune homme, décidément tout les événements qui s’était passer était lié a l’abandon qu’avais fait hohenheim un peu après la naissance de al. Est le fait d’insister encore plus sur cela ne faisait que grandir le sentiment qu’éprouvais hohenheim envers lui-même, un sentiment entre la haine et la pitié. Puis d’un coup Edward commença a pleurer tout les larmes de son corps, et il ne semblait pas pouvoir s’en empêcher. Cela avait tout d’abord étonner l’homme, puis ne cherchant pas à comprendre plus, il dit :

« Edward… pourquoi pleure tu ? »

Il se leva de sa chaise, et alla a coter d’Edward, il pris ce dernier dans ces bras comme il le pouvait et dit :

« Sa vas aller. »

Il avait dit cela comme on le dit a un enfant, avec une pointe un peu plus adulte dans la vois. Son coté père de famille ressortait sûrement en présence de son fils pleurant. C’était peu être signe d’une réconciliation entre les deux personnages.

Edward senti son père le prendre dans ses bras, alors il s‘y accrocha, s’accrochant au cou de l‘homme plus grand que lui avec force, pleurant dans le cou de son père.

C’était comme tout petit, quand il était tomber de son cheval a bascule. L’enfant avait pleuré, c’étant fait mal, alors le père qui n’était pas loin était venue le prendre dans ses bras et le bercer, en lui disant « ça va aller » et la phrase magique avaient eu son effet, le petit garçon c’était calmé en faisant la moue.

La c’était pareille, le jeune homme fini par calmer ses pleure. Mais il ne bougea pas pour autant, restant scotché à son père.

« Ne nous abandonne plus, on peut tout comprendre, je t’aime papa, Alphonse aussi, et maman t’as aimer jusqu’a la fin, mais ne m’abandonne plus je t’en pris ! »

[Je doute que Ed dise cela en vrai mais bon, sa va avec mon Ed a moi, il se rattrapera plus tard sur Envy lol]

Un étrange sentiment frappa hohenheim, comme un souvenir qui se répéterait. C’était à la fois plaisant et bizarre. Bizarre parce qu’il se sentait vraiment comme un père pour la première fois de sa vie. Le fait que son fils n’ait relâché son étreinte fit naître un grand sentiment de bonheur en lui.

« Je n’ai pas dans l’intention de vous quitter de nouveau toi est Alphonse… »

Il mis un grand temps de silence entre ces paroles et finit par dire :

« Je vous aime moi aussi… fiston. »

(C’est à la limite du triste cette situation.)

Ha le Fiston n’apprécia pas l’appellation et se décolla de lui, les mains sur les épaules de son père, puis il lui attrapa les joues et les lui pinça.

« Je suis peut être sentimental, mais faut pas déconner non plus ! Pas de Fiston, je m’appelle Edward ! Appelle moi Ed a la rigueur mais pas de surnom débile, j’ai déjà Envy qui m’appelle le nabot d’acier, cela me suffit amplement ! »

Puis il se frotta les yeux, il était fatigué mine de rien. Puis il se releva en s’époussetant et aida son père a se relever, puis il se rassit a table.

Hohenheim fut surpris que son fils lui pince les joues. En temps normal c’était les parents qui pinçaient les joues de leur enfant quand ils faisaient des bêtises, mais la Edward semblait avoir voulu changer les rôles.

« Je… je retire, je retire. »

Ce fut tout se que hohenheim pouvais dire. Son fils avait une poigne horrible surtout avec son auto-mail. Les pincements étaient visibles sur les joues d’hohenheim. L’homme accepta l’aide que lui proposait son fils pour se relever.

*le nabot d’acier… je ne ferais aucun commentaire.*

« Edward, tu devrais dormir maintenant. Tu est vraiment fatiguer, tu dort debout. Je te promet d’être la quand tu te réveillera. »

hohenheim sourit et s’assit a sa place pour terminer son repas

Edward préféra manger, oui il devait bien avouer qu’il avait peur que son père ne disparaisse. Mais après manger, il laissa l’homme faire la vaisselle, tendis qu’il appelait Winry a centra.

« Oui, ok promis, je laisserait de l’argent quand on partira pour vous rembourser. »

La jeune fille hurla alors qu’il n’avait pas a faire cela, a coup sur même de la cuisine son prèe avait du l’entendre brailler.

« Ne cris pas s’il te plait, merci ^^ »

Puis après d’autre politesse, il raccrocha, et alla a la cuisine, il s’appuya sur le pas de la prote regardant son père jouer les femmes au foyer. Puis il ferma les yeux et s’endormit debout.
Finalement il aurais du écouter son père, et allez se coucher.

hohenheim et Ed finir tout se que l’homme avait préparer. Il débarrassa alors la table et fit la vaisselle pendant que Edward téléphonait à Winry. La vaisselle, il faut l’avoué, était tout nouveau pour hohenheim. chose qu’il n’aimait pas faire et qu’il n’avait jamais imaginer faire un jours. Il se fit rejoindre par Edward qui venait de finir de téléphoner. Il s’endormit presque directement sur le meuble, debout. Hohenheim lâcha donc les assiettes et porta son fils jusqu’au canapé.

*N’utilise pas ton argent Edward, je payerais les rockbell.*

hohenheim a force de voyager, il avait économiser les frais pour les transport. Il retrouva ses assiettes, qu’il finit quelques minutes après. Il s’installa donc sur un fauteuil et il regarda son fils.

Visiblement le papa ne connaissait pas le mot chambre, ni couverture. Edward dormant mal, étant mal installé, se mit à gigoter, cherchant une position et de quoi se couvrir, tremblant légèrement.

Il fini donc par se réveiller, et regarda ou il était, planant a quinze mille pieds dans le monde des rêves il se leva et monta a l’étage, il entra dans la chambre d’ami ou se trouvait deux lit, et en ouvrit un, les draps était fait. Il se déshabilla alors, puis détacha ses cheveux, crever, il se coucha donc, en caleçon bleu pal et débardeur noir. Puis s’y rendormit.

D’un coup il vit son fils remuer, puis après quelques secondes, le jeune homme se leva et monta à l’étage du dessus. Hohenheim le suivit et vit qu’il allait dans une chambre. Quand Edward fut couché, l’homme ferma la porte de la chambre et redescendit. Il regarda un peu partout et sourit. Il pris alors une photo de winry dans les mains, elle était encore une enfant sur celle-ci, entre temps elle devait avoir grandit et mûri. Il reposa la photo la oui il l’avait trouver et soupira. Il se dirigea vers la porte d’entrer qu’il ouvrit et se posa contre le mur, regardant a l’horizon.

*Rizembull, tu est toujours aussi belle.*

hohenheim était presque nostalgique devant se décor qu’il aimait tant, ça lui rappelais se qu’il avait vécu avec sa chère femme, et le bonheur qu’il avait eu avec ses fils bien que ça n’ai pas durer longtemps. Il tendit son bras devant lui et regarda la mains, plonger dans ses penser.

La nuit se passa donc. Toute en tranquillité, puis le lendemain matin arriva, trop vite au goût de Edward. Qui se leva, il enfila son pantalon et descendit en bas, il y retrouva son père. Le bras et les pieds métalliques du garçon étaient visibles, depuis que Winry l’avait réparé, il ne portait plus de peau synthétique.

« Ohayo »

Dit il encore dans le coletard, en tentant de discipliné ses cheveux blond détacher. Il souri tout de même en coin en voyant que son père ne c’était pas envoler.

Hohenheim était lever depuis l’aube, il n’avait pas vraiment réussit a dormir au sens propre du terme, mais au moins il était en forme. Il faisait chauffer du lait et du café, il avait aussi préparer la table, en sortant de la confiture, du pain, et il était même aller acheter du beurre chez une ancienne voisine qu’il n’avait pas vu depuis des lustres et qui l’avait reconnu du premier coup d’œil, criant joie et colère. Il leva se retourna et vis Edward qui descendait de sa chambre, pas complètement réveiller mais suffisamment pour dire bonjours.

« Bonjours Edward, bien dormit ? »

Après ces quelques mot échanger avec son fils il sortit pris le journal et regarda la première page. Ce qu’il vit ne le choqua pas, mais l’étonna au plus haut point. Il se redressa et regarda Edward, ferma la porte et s’approcha de son fils. Il lâcha le journal a la place réserver a Edward, et s’assit a la sienne. La nouvelle qui se trouvait dans le journal du jour allait sûrement réveiller son pauvre fiston.

« Dit moi Edward, Roy t’aime bien a parement. »

Il lui avait dit cela avec un grand sourire sur ses lèvre.

Edward qui dormait a moitié, écarquilla les yeux, il fixa le journal fébrilement et lut le titre, l’article, et vie la photo. Horrifié de ce qu’il voyait, il ne fit que sursauter et se laissez tomber sur sa chaise aux mots de son père.

« Heu oui il semblerais… »

Le petit blond rougie alors comme une pucelle effaroucher, mais l’était il encore au moins puceau ? Mystère et boulle de gomme.
Il est vrai que des le matin au réveille, ce n’était pas vraiment la chose a voir. Il soupira et attrapa du café, mais sa main rencontra quelque chose d’autre. Le lait.

« Je déteste le lait…. Et c’est quoi ce grand sourire niais ? »

Un hohenheim un peu moins sage aurais peu éclater de rire avec le tête que faisait Edward avec une telle nouvelle des le réveille. Au lieu de sa hohenheim restait calme, mais tout de même souriant comme jamais. Il était très amuser de al situation.

« Oui… »

hohenheim pris une tasse de café et mis une pointe de lait dans celui-ci. Il bu une gorger avant que son fils ne vois le lait et dise qu’il n’aimer pas le lait. Hohenheim pris la cruche de lait chaud dans les mains et la regarda a tour de rôle avec edward. Puis il la posa et dit :

« Si tu buvait du lait du ferais peu être plus ton age… »

hohenheim ria un peu de se qu’il venait de dire, pour lui c’était de l’humour pour enfant.

Edward le regarda comme si son père était devenu fou.

« Je te déteste, je déteste le lait, tu ne me forcera pas a en boire, et arrête de te moqué de moi, tu pourrais être plus compatissant avec moi, c’est pas toi qui te fait sauter dessus par ton supérieur, alors que toi t’as pas vraiment envies ! »

Le pas vraiment laissait sous entendre qu’il n’était pas contre non plus. Ce qui pouvais paraître étrange tout de même pour un garçon comme lui, qui passait son temps libre à se chamailler avec le colonel Mustang. Non mais c’est vrai, lui il c’était plutôt attendus a voir son père entrer en rage… et ben non, tout ce qu’il trouvait a faire c’était de se moquer de lui et de se marrer, le blond vexer, se leva alors. Puis monta a l’étage, ou il se mit a plat ventre sur son lit, sourcils froncer de mécontentement.

« Baka »

Hohenheim arrêta de sourire, Edward ne semblait pas conditionner à recevoir de l’humour sur le sujet. Et le lait venait s’ajouter à la moquerie. Il S’en alla en courant dans sa chambre, alors hohenheim soupira et finit sa tasse de café au lait.

*j’ai fait une erreur la*

Il se leva de sa chaise et nettoya la table, puis il fit la vaisselle et monta voir son fils. Il toqua a la porte et entra, le regardant. Bien qu’il soit maintenant adulte Edward restait un gamin sur certains points. Hohenheim s’approcha un peu et lui dit :

« Tu préfère que je ris de la situation ou que j’éclate de colère, ou pire encore que je ne donne pas mon avis… je voulais pas te faire de mal avec le journal, je ne ma moquait pas de toi, je t’encourageais a me parler de se qui avait entre toi et roy. »

L’homme fit un mince sourire, mais cincére.

« Peut être pas en colère, mais pas m’asticoter comme cela, déjà quel ‘on se fout de moi par ce que je suis petit. »

Répliqua le garçon avant de s’asseoir sur son lit convenablement, et d’y inviter son père. Puis il soupira.

« Il n’y as rien entre lui et moi, du moins je crois, il m’a convoquer a son bureau y as pas longtemps, et m’a fait des avances, puis m’a juste embrasser. C’est tout… »

Il s’allongea a nouveau sur son lit, les pieds dans le vide, et les mains croiser sous sa tête.

« Je ne sais pas ce qui lui passe par la tête, je ne l’ai jamais compris. »

Hohenheim s’assit a cotre de son fils il écouta toute les explications de son fils avec le plus grand intérer. Roy était donc un bourreau des cœurs pour les deux sexes maintenant. N’aurait il pas attendu tout le temps qu’il a passer avec Edward dans l’attente de se jour ou il serais majeur et ou il pourrais lui faire ses aveux.

« Roy est un drôle de supérieur… si tu ne ressent rien pour lui, tout du moins rien de spécial tu devrait le lui dire non ? A moins que s’a n’ai déjà été fait. »

Sur ce hohenheim se leva et dit :

« Pour la taille c’est pas grave, t’est pas un nain non plus. »

*même si tu t’en rapproche mon chère edward.*

« Je te retrouve en bas, tu me dira se que tu veut manger se midi ; »

Puis il ferma la porte derrière lui et descendit le escalier, allant s’asseoir sur la chaise ou il était assit au petit déjeuner.

Edward était perdu, il n’avait plus repoussé Roy par la suite. Le petit blond se leva et descendit, il passa devant la cuisine et sorti dehors, la douche étant sur l’arrière de la maison. Il détacha ses cheveux, en soupirant, et mit en route le chaufau, puis l’eau. Se déshabillant et restant en caleçon il se glissa sous l’eau, et leva le nez en l’air savourant la fine pluie artificielle est tiède sur son visage dégoulinant le long de son corps muscler et mince a la peau blanche, ou se trouvait des cicatrice un peut partout, plus ou moins vielle.

Les yeux fermer, il repensait a tout ce temps passer sans son père, et passer avec son frère. Finalement il avait réussie pardonner en parti a son géniteur. Certes celui ci était maladroit mais attentionner.

« Finalement je suis contant que tu soit revenue Papa.